Quand le fruit est mûr, il faut le cueillir, de peur qu’il ne tombe

Le groupe de travail mixte : Philippe Leuba, conseiller synodal et président du groupe de travail - Anne Abruzzi, présidente du Conseil synodal - Dominique Kohli, délégué du Synode - Olivier Leuenberger, délégué du Synode - Laurence Bohnenblust-Pidoux, conseillère synodale - Simon Butticaz, délégué du Synode (de gauche à droite) © L.Cogne médias-pro
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Le groupe de travail mixte : Philippe Leuba, conseiller synodal et président du groupe de travail - Anne Abruzzi, présidente du Conseil synodal - Dominique Kohli, délégué du Synode - Olivier Leuenberger, délégué du Synode - Laurence Bohnenblust-Pidoux, conseillère synodale - Simon Butticaz, délégué du Synode (de gauche à droite) © L.Cogne médias-pro
Synode

Quand le fruit est mûr, il faut le cueillir, de peur qu’il ne tombe

Par Eglise réformée vaudoise
26 février 2024
Le jeûne est propice à l’introspection, à la méditation et aux résolutions déterminées. Pouvait-on choisir meilleur moment pour saisir le Synode des rapports sur la gouvernance de notre Église?

Vaste projet, qui a occupé les organes de notre Église depuis près de deux ans, nourri par des réflexions, parfois contradictoires, de nombreux protestants et nombreuses protestantes, merci à chacun et chacune.

Ces rapports sont le fruit d’un groupe de travail composé paritairement de membres du Conseil synodal et du Synode. Ces réformes doivent permettre à notre Église de relever les défis qui se posent à elle.

Pendant cette longue gestation, nous avons eu le temps de passer du doute à l’évidence : l’Église réformée vaudoise doit se réformer pour mieux remplir sa mission au service de toutes et tous. Revigorée, tournée vers l’avenir, moins lourde, elle pourra mieux consacrer ses forces à la diffusion de l’Évangile.

Le Conseil synodal se réjouit que ces rapports, que vous trouvez dès aujourd’hui en ligne, bénéficient du soutien unanime du groupe de travail. Par ailleurs, un texte de synthèse a été rédigé conjointement par la présidente du Conseil synodal et le président du groupe de travail mixte.

Ce travail commun fructueux est un signe d’espérance pour l’unité de notre Église, nécessaire aujourd’hui comme demain.